« Rue Albéric de Calonne » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
(Une version intermédiaire par le même utilisateur non affichée) | |||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
<gallery> | <gallery> | ||
Image:CPA-Rue-Bellevue.jpg | Image:CPA-Rue-Bellevue.jpg | ||
Image:CPA-rue-Bellevue-Entrepots-Francois-Ed-Bellier.jpg|Entrepôts L. François rue Bellevue à l'angle avec la [[Rue Paul Sautai]] | Image:CPA-rue-Bellevue-Entrepots-Francois-Ed-Bellier.jpg|Entrepôts L. François rue Bellevue à l'angle avec la [[Rue Paul Sautai]] - vendeur de spiritueux - L'entrepôt devient un fabricant de cycles dans les années 20 | ||
</gallery> | </gallery> | ||
Dernière version du 22 mai 2022 à 20:25
{{
|width=200 |zoom=16 |height=200 |controls= | }} |
Amiens - Rue Albéric de Calonne |
Nommée d'abord Rue Bellevue elle prend ensuite le nom d'Albéric de Calonne
-
-
Entrepôts L. François rue Bellevue à l'angle avec la Rue Paul Sautai - vendeur de spiritueux - L'entrepôt devient un fabricant de cycles dans les années 20
la rue Albéric de Calonne pendant la seconde guerre mondiale
- au 14
Ginette Schulhof - fille de déporté témoigne : "Après la Libération, au 14 Rue Albéric de Calonne, dans cette maison qui avait servi de refuge, j’attendais patiemment mon père et ma mère. Puis, ce fut le retour des déportés, tout particulièrement de Renée Louria, qui avait été raflée ce 4 Janvier 1944 puis déportée à Auschwitz, en même temps que mes parents. Revenue dans un état physique et psychologique épouvantable, elle m’apprit que je devais arrêter d’espérer ; que mes parents avait été gazés dès leur arrivée au camp." Amiens mémoire sur amiens.fr