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[[Paule Roy]] mentionne :
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* Un sieur Piolé, dit "La France", joueur de marionnettes tantôt indiqué comme vivant au 187 de la rue, tantôt indiqué comme vivant au 107 (a priori 107, la rue s'achevant au numéro 124)
* Un sieur Piolé, dit "La France", joueur de marionnettes tantôt indiqué comme vivant au 187 de la rue, tantôt indiqué comme vivant au 107 (a priori 107, la rue s'achevant au numéro 124). D'après l'ouvrage [[Tête de Bois et Coeur d'Or]], un théâtre de "cabotans" était en activité dans la rue à ce numéro jusqu'en 1906.
* A numéro 2 en 1891 l'abbé Ferdinand Motte. La majeure partie des habitants de la rue est alors composée d'ouvriers
* Au numéro 2 en 1891 l'abbé Ferdinand Motte. La majeure partie des habitants de la rue est alors composée d'ouvriers
* En 1905 M. Porchez entrepreneur de menuiserie au 99
* En 1905 M. Porchez entrepreneur de menuiserie au 99
* En 1939 la société des Fermiers réunis au 86-88
* En 1939 la société des Fermiers réunis au 86-88
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Toujours en 1939 [[Paule Roy]] mentionne au 118-120 M. Macaigne, agriculteur.
Toujours en 1939 [[Paule Roy]] mentionne au 118-120 M. Macaigne, agriculteur.


L'acte de propriété actuel de ce bâtiment permet d'en retracer son histoire. A l'origine c'est donc une ferme : le porche restauré dans les années 1990 en atteste au moins sur sa face non visible de la rue. Il est resté dans la famille Macaigne jusqu'en 1975. La famille avait acquis successivement plusieurs bâtisses alentour ([[Rue de l'Union]] (118, 120, 122) et [[Rue Béranger]] (79, 81, 83, 85, 87)). En 1975 un particulier rachète l'ensemble. Il divisera la parcelle pour permettre la réalisation de la construction d'un ensemble de bâtiments à la place des numéros 79 à 87 de la [[Rue Béranger]]. Le bâtiment principal aux numéros 118 et 120 connaîtra lui plusieurs propriétaires successifs qui aménageront les anciens hangars en salles de sport, puis en logements.  
L'acte de propriété actuel de ce bâtiment permet d'en retracer son histoire. A l'origine c'est donc une ferme : le porche restauré dans les années 1990 en atteste au moins sur sa face non visible de la rue. Il est resté dans la famille Macaigne jusqu'en 1975. La famille avait acquis successivement plusieurs bâtisses alentour ([[Rue de l'Union]] (118, 120, 122) et [[Rue Béranger]] (79, 81, 83, 85, 87)). En 1975 un particulier rachète l'ensemble. Il divisera la parcelle pour permettre la réalisation de la construction d'un ensemble de bâtiments à la place des numéros 79 à 87 de la [[Rue Béranger]]. Le bâtiment principal aux numéros 118 et 120 connaîtra lui plusieurs propriétaires successifs qui aménageront les anciennes annexes en salles de sport, puis en logements.  


D'après l'ouvrage [[Tête de Bois et Coeur d'Or]], un théâtre de "cabotans" était en activité dans la rue en 1905.




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* 10 juillet : le numéro 107 est touché
* 10 juillet : le numéro 107 est touché


== Seconde guerre mondiale ==


Le bas de la rue de l'Union est détruit lors de la seconde guerre mondiale quasiment jusqu'au numéro 90 de la rue. Après guerre, le N°2 immeuble typique de la reconstruction sort de terre, et en 1954 l'école maternelle est reconstruite sur les derniers décombres.




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Image:Rue-de-l-union.jpg|Rue de l'Union, depuis l'école - Mars 2013
Image:Rue-de-l-union.jpg|Rue de l'Union, depuis l'école - mars 2013
Image:macaron-boulangerie-union.jpg|détail sur façade d'un ancienne boulangerie (90/92)
Image:Facade-union.jpg|détail sur façade (90/92)
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== Documents textes numérisés ==
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Annuaire32-20140715_231457.jpg|annuaire de 1932
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[[Catégorie:Faubourg de Beauvais|Union]]
[[Catégorie:Faubourg de Beauvais|Union]]

Dernière version du 15 juillet 2014 à 23:51

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Amiens - Rue de l'Union

Elle rejoint la Route de Rouen et la Rue Béranger D'après Paule Roy; elle fut tracée et bâtie vers 1840 par des propriétaires associés. En fait elle a permis de relier des bâtis existants (un plan d'alignement date de 1837)

Paule Roy mentionne :

  • Un sieur Piolé, dit "La France", joueur de marionnettes tantôt indiqué comme vivant au 187 de la rue, tantôt indiqué comme vivant au 107 (a priori 107, la rue s'achevant au numéro 124). D'après l'ouvrage Tête de Bois et Coeur d'Or, un théâtre de "cabotans" était en activité dans la rue à ce numéro jusqu'en 1906.
  • Au numéro 2 en 1891 l'abbé Ferdinand Motte. La majeure partie des habitants de la rue est alors composée d'ouvriers
  • En 1905 M. Porchez entrepreneur de menuiserie au 99
  • En 1939 la société des Fermiers réunis au 86-88

Toujours en 1939 Paule Roy mentionne au 118-120 M. Macaigne, agriculteur.

L'acte de propriété actuel de ce bâtiment permet d'en retracer son histoire. A l'origine c'est donc une ferme : le porche restauré dans les années 1990 en atteste au moins sur sa face non visible de la rue. Il est resté dans la famille Macaigne jusqu'en 1975. La famille avait acquis successivement plusieurs bâtisses alentour (Rue de l'Union (118, 120, 122) et Rue Béranger (79, 81, 83, 85, 87)). En 1975 un particulier rachète l'ensemble. Il divisera la parcelle pour permettre la réalisation de la construction d'un ensemble de bâtiments à la place des numéros 79 à 87 de la Rue Béranger. Le bâtiment principal aux numéros 118 et 120 connaîtra lui plusieurs propriétaires successifs qui aménageront les anciennes annexes en salles de sport, puis en logements.


D'après l'ouvrage Tête de Bois et Coeur d'Or, un théâtre de "cabotans" était en activité dans la rue en 1905.


Durant la Guerre 1914-1918

Dans ce quartier, c'est la rue de l'Union qui est la plus touchée par les bombardements de 1918 :

  • 7 avril : toutes les maisons du numéro 12 au numéro 24
  • 1er juin : les 102 et 104
  • 15 juin : un obus devant le numéro 32 qui détruit les maisons du numéro 22 au 56 et du numéro 25 au 33
  • 10 juillet : le numéro 107 est touché

Seconde guerre mondiale

Le bas de la rue de l'Union est détruit lors de la seconde guerre mondiale quasiment jusqu'au numéro 90 de la rue. Après guerre, le N°2 immeuble typique de la reconstruction sort de terre, et en 1954 l'école maternelle est reconstruite sur les derniers décombres.


Documents textes numérisés