« Rue de Beauvais » : différence entre les versions
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* Dans la soirée du 10 novembre 1916, des obus tombent dans la rue, à l'angle avec la [[Rue de l'Amiral Lejeune]] | |||
* Dans la nuit du 9 au 10 février 1917, c'est le numéro 80 qui est touché | |||
* L'après midi du 6 avril : la maison Bénard est touchée | |||
* Le 9 avril : les numéros 78, 80, 82 et 84 sont détruits. | |||
* Le 10 avril : est bombardée la [[Bijouterie Kayser]] au numéro 6. | |||
* Le 18 avril la rue est à nouveau touchée. | |||
* A nouveau bombardée le 21 avril. | |||
* Le 23 avril : incendie du numéro 109 vers 22h. | |||
* Le 24 avril, un incendie au numéro 60 chez M. Delaporte, marchand de fer. l'incendie se propage très rapidement et provoque la destruction d'une centaine de maisons dans la rue ainsi que dans les rues avoisinantes ([[Rue de l'Amiral Lejeune]], [[Rue Leroux]], [[Rue Desprez]] et [[Rue Frédéric Petit]]). Il faudra dynamiter certaines maisons pour réussir à circonscrire l'incendie. | |||
===En 1932=== | ===En 1932=== | ||
De la rue de Beauvais de 1932 il ne reste rien, ce sont désormais des immeubles d'après guerre qui bordent cette voie. En 1932 l'activité commerciale y était intense : Poissonnier, bar, chausseur, coutelier, marchand de graines, cordonnier, restaurants ... Mais si beaucoup de bâtiments et de boutiques anciens ont | De la rue de Beauvais de 1932 il ne reste rien, ce sont désormais des immeubles d'après-guerre qui bordent cette voie. En 1932 l'activité commerciale y était intense : Poissonnier, bar, chausseur, coutelier, marchand de graines, cordonnier, restaurants ... Mais si beaucoup de bâtiments et de boutiques anciens ont disparu certaines enseignes existent encore au début du XXI siècle. | ||
* Au 25, la Maison Lourdel-Dubois, Bonneterie | |||
* Au 45, la Compagnie du Gaz Français d'Amiens | |||
* Au 50 - 52 coopérative l'Union - vraisemblablement un réseau de distribution de produits alimentaires. Curieusement dans l'annuaire de 1932 on trouve aussi le théâtre de l'union et une brasserie ... | * Au 50 - 52 coopérative l'Union - vraisemblablement un réseau de distribution de produits alimentaires. Curieusement dans l'annuaire de 1932 on trouve aussi le théâtre de l'union et une brasserie ... | ||
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* 144 - 148 [[André Ledru]] Chauffage Central | |||
==Seconde guerre mondiale == | |||
Les bombardements de mai 1940 ravage une nouvelle fois la rue, jusqu'à la reconstruction la rue sera bordée de bâtisses provisoires. | |||
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RueDeBeauvaisJuillet1940.JPG| 9 juillet 1940 | |||
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== Après la seconde guerre mondiale == | |||
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* 144 - 148 [[André Ledru]] Chauffage Central est encore là, ainsi qu'en 1957 | |||
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Image:Exposition-dArt-Sacre-ancien-et-Moderne-1948-01.jpg|Publicité dans le catalogue de l'[[Exposition d'Art Sacré ancien et Moderne - 1948]] | |||
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Image:Delarue-benard-beauvais.jpg| [[Delarue-Bénard]] vers 1965 | |||
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Au 20 : SOPIR, Frigéco, le réfrigérateur de qualité, Magasin Delarue-Benard | |||
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[[Catégorie:centre ville|Beauvais]] | [[Catégorie:centre ville|Beauvais]] | ||
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Amiens - Rue de Beauvais |
A l'emplacement de l'actuelle rue de Beauvais étaient implantés les Thermes de la cité romaine Samarobriva
La rue de Beauvais au début du XX siècle
1914 - 1918
La rue fut en grande partie détruite durant la Première Guerre mondiale. On trouve durant la guerre :
- Au 60 la Quincaillerie Delaporte
Parmi les destructions de la guerre on notera :
- Dans la soirée du 10 novembre 1916, des obus tombent dans la rue, à l'angle avec la Rue de l'Amiral Lejeune
- Dans la nuit du 9 au 10 février 1917, c'est le numéro 80 qui est touché
- L'après midi du 6 avril : la maison Bénard est touchée
- Le 9 avril : les numéros 78, 80, 82 et 84 sont détruits.
- Le 10 avril : est bombardée la Bijouterie Kayser au numéro 6.
- Le 18 avril la rue est à nouveau touchée.
- A nouveau bombardée le 21 avril.
- Le 23 avril : incendie du numéro 109 vers 22h.
- Le 24 avril, un incendie au numéro 60 chez M. Delaporte, marchand de fer. l'incendie se propage très rapidement et provoque la destruction d'une centaine de maisons dans la rue ainsi que dans les rues avoisinantes (Rue de l'Amiral Lejeune, Rue Leroux, Rue Desprez et Rue Frédéric Petit). Il faudra dynamiter certaines maisons pour réussir à circonscrire l'incendie.
En 1932
De la rue de Beauvais de 1932 il ne reste rien, ce sont désormais des immeubles d'après-guerre qui bordent cette voie. En 1932 l'activité commerciale y était intense : Poissonnier, bar, chausseur, coutelier, marchand de graines, cordonnier, restaurants ... Mais si beaucoup de bâtiments et de boutiques anciens ont disparu certaines enseignes existent encore au début du XXI siècle.
- Au 25, la Maison Lourdel-Dubois, Bonneterie
- Au 45, la Compagnie du Gaz Français d'Amiens
- Au 50 - 52 coopérative l'Union - vraisemblablement un réseau de distribution de produits alimentaires. Curieusement dans l'annuaire de 1932 on trouve aussi le théâtre de l'union et une brasserie ...
- Au 101 - 103 et 105 la quincaillerie Désérable-Guédon
- du 18 au numéro 28 Delarue-Bénard vend du papier peint.
- 140 - 142 Le premier réseau de supérette La ruche Picarde est déjà présent.
- 144 - 148 André Ledru Chauffage Central
Seconde guerre mondiale
Les bombardements de mai 1940 ravage une nouvelle fois la rue, jusqu'à la reconstruction la rue sera bordée de bâtisses provisoires.
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9 juillet 1940
Après la seconde guerre mondiale
- 20 - 28 un spécialiste des tableaux et gravures
- 144 - 148 André Ledru Chauffage Central est encore là, ainsi qu'en 1957
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Publicité dans le catalogue de l'Exposition d'Art Sacré ancien et Moderne - 1948
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Delarue-Bénard vers 1965
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A la fin des années 1970 depuis la Place de l'Hotel de Ville
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En 1963
Au 20 : SOPIR, Frigéco, le réfrigérateur de qualité, Magasin Delarue-Benard