« Rue de Noyon » : différence entre les versions
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Image:Amiens-RueDeNoyon.jpeg|les anglais rue de Noyon | |||
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Image:Photo-Amiens-70-80-Rue-de-Noyon.jpg|Fin des années 1970 | |||
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== Années 50 et 60 == | |||
* Au 1bis, en 1963, Bernard Leplat, Ducretet Thomson télévisions | |||
*Au 7, en 1957, [https://www.amiens-wiki.fr/index.php/Fichier:1957_POIRE_CHOQUET.png Librairie Poiré-Choquet] | |||
* Au 31, en 1957, Lingerie [https://www.amiens-wiki.fr/index.php/Fichier:1957_ESTELLE.png Estelle] | |||
* Au 32, en 1968, le plus fort tirage des hebdomadaires du département, Picardie Dimanche | |||
* Au 32, en 1968, Picardie Dimanche | |||
*Au 40, en 1963, J. Ricque, opticien | |||
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Amiens - Rue de Noyon |
Le libraire Poiré-Choquet, installé au début du 20e siècle Rue de la République est installé après la seconde guerre mondiale dans la rue, au numéro 7
Durant la Guerre 1914 - 1918
Le 22 septembre 1916, à 3h, un obus tombe sur le numéro 24 (probablement un obus de la D.C.A.)
Le cinéma l'Excelsior fut rebaptisé "Cinéma des Alliés" lors de sa réouverture le 15 janvier 1916 (source La Grande Guerre à Amiens) - Dans la soirée du 10 novembre 1916, un obus tombe sur le bâtiment situé au numéro 28 de la rue
En 1918, le 4 avril après midi, un obus tombe sur la Société Industrielle, au n°29 de la rue.
Le 27 avril 1918 à 23h deux soldats sont tués par un éclat d'obus.
Dans les années 30
au 2, a l'angle avec la Place René Goblet, le Grand Hôtel de l'Univers
au 11 et 13 le Cinéma L'Excelsior
au 18 les pâtés et macarons G. Koenig
au 20 les pâtés et macarons Degand, Pâtissier-Confiseur
au 21 la librairie Brandicourt-Boivin
au 23 et 25, Magraner Frères, fruits vins et champagne
au 30 Hôtel des ventes d'Amiens
au 36 et 38, l'Hôtel de Paris
au 37 la Maison Dubois, Coiffeur
au 42, à l'angle avec le Boulevard de Belfort, l'Hôtel Carlton qui fait également Restaurant
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Le libraire Poiré-Choquet, installé au début du 20e siècle Rue de la République s'installe après la seconde guerre mondiale dans la rue, au numéro 7
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les anglais rue de Noyon
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l'Hôtel Carlton dans les années 1960
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l'Hôtel Carlton dans les années 1970
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Fin des années 1970
Années 50 et 60
- Au 1bis, en 1963, Bernard Leplat, Ducretet Thomson télévisions
- Au 7, en 1957, Librairie Poiré-Choquet
- Au 31, en 1957, Lingerie Estelle
- Au 32, en 1968, le plus fort tirage des hebdomadaires du département, Picardie Dimanche
- Au 32, en 1968, Picardie Dimanche
- Au 40, en 1963, J. Ricque, opticien
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1963
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1968
La rue de Noyon de nos jours
Frédéric Domon habita longtemps au numéro 9 de la rue de Noyon