« Rue des Cannettes » : différence entre les versions
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* au 11-13 [[Pasquier]] fait des vitraux - [[Pasquier]] aurait participé après guerre à la restauration des vitraux de la [[ | * au 9 maison protégée depuis 2007 par le Ministère de la Culture, avec les maisons au numéros 25 et 27 (arrêté du 26 janvier 2007) (http://www.culture.gouv.fr/picardie/dossiers/protections_mh/protections_2007/protectionsmh_2007_amiens-st-leu.html) | ||
* au 11-13 [[Pasquier]] fait des vitraux - [[Pasquier]] aurait participé après guerre à la restauration des vitraux de la [[Cathédrale]] Notre Dame d'Amiens. | |||
* au 21 en 1932 Dailly est inspecteur de police privée ( détective ? ) | * au 21 en 1932 Dailly est inspecteur de police privée ( détective ? ) | ||
* au 25 en 1932 un atelier de fourrure | |||
* au 25 en 1932 L'annuaire de l'époque indique "fourrure" sans doute un atelier de confection ou réparation de fourrure - car les boutiques qui existaient à l'époque se tenaient à l'écart de se quartier populaire. | |||
* Le numéro 27 (l'une des trois maisons protégées de la rue) a été réhabilité récemment par un amoureux du quartier. Il a conté l'histoire de la rénovation ici : http://lamaisondescannettes.over-blog.com/ | |||
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Dernière version du 24 mai 2013 à 07:22
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| Amiens - Rue des Cannettes |
Rue Estamet, rue Escanet, rue des Escanettes - le nom "Escanettes" viendrait du nom d'un fossé - D'après Daire et Antoine Goze ce fossé bien irrigué accueillait nombre de canards et canettes.
La rue des cannettes au XIX
Pierre Lefort est mort au 1 rue des cannettes.
La rue des cannettes au XX siècle
- au 9 maison protégée depuis 2007 par le Ministère de la Culture, avec les maisons au numéros 25 et 27 (arrêté du 26 janvier 2007) (http://www.culture.gouv.fr/picardie/dossiers/protections_mh/protections_2007/protectionsmh_2007_amiens-st-leu.html)
- au 11-13 Pasquier fait des vitraux - Pasquier aurait participé après guerre à la restauration des vitraux de la Cathédrale Notre Dame d'Amiens.
- au 21 en 1932 Dailly est inspecteur de police privée ( détective ? )
- au 25 en 1932 L'annuaire de l'époque indique "fourrure" sans doute un atelier de confection ou réparation de fourrure - car les boutiques qui existaient à l'époque se tenaient à l'écart de se quartier populaire.
- Le numéro 27 (l'une des trois maisons protégées de la rue) a été réhabilité récemment par un amoureux du quartier. Il a conté l'histoire de la rénovation ici : http://lamaisondescannettes.over-blog.com/
Faits Divers
- en 1901 un ouvrier nommé Petit aurait tué sa fille au 1 ou au 3 de la rue des cannettes - vraisemblablement les immeubles du 1 au 5 ( le 5 a désormais disparu ) disposait d'une petite cour avec au fond des granges et de modeste maison, alors que les maisons côté rue sont de bel hauteur et plutôt cossues pour le quartier. C'est donc à l'arrière des bâtiments que le drame aurait eu lieu. ( src : Les grandes affaires criminelles de la Somme et Archives départementales / état civil )
- La rue des cannettes garde la réputation d'avoir été un haut lieu de la prostitution à Amiens - cependant aucune trace écrite, les maisons closes ne disposant pas de rubrique propre dans les annuaires de l'époque.