« Cimetière Saint Acheul » : différence entre les versions

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Le Jeune poète amiénois [[Marius Souriceau]] grand admirateur de Rodin,  se sachant condamné avait demandé qu'une sculpture de l'artiste soit sur sa tombe. En 1911 le "Lys Brisé" est donc mis en place, il y est gravé un vers d'Alfred Musset  « Dieu passe, il m’appelle ». On dit que Jugée indécente par les bigots de l’époque, elle serait restée voilée pendant un an.
Le Jeune poète amiénois [[Marius Souriceau]] grand admirateur de Rodin,  se sachant condamné avait demandé qu'une sculpture de l'artiste soit sur sa tombe. En 1911 le "Lys Brisé" est donc mis en place, il y est gravé un vers d'Alfred Musset  « Dieu passe, il m’appelle ». On dit que Jugée indécente par les bigots de l’époque, elle serait restée voilée pendant un an.


Repose notamment au cimtière Saint Acheul :
Repose notamment au cimtière Saint Acheul :


- Le poète [[Edouard David]]
* Le poète [[Edouard David]]
 
* La Famille [[Devred]]


- La Famille [[Devred]]
* La Famille [[Dian]]


- La Famille [[Dian]]
* [[Jean Catelas]]
 
* [[Joseph Pinchon]] le créateur de Bécassine.


[[Fichier:Cimetieracheul.jpg]]
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[[Fichier:Cimetieracheul2.jpg]]
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== Durant la Guerre 1914 - 1918 ==
L'entrée du cimetière est endommagée par un obus largué par avion le 30 septembre 1916
Dans la soirée du 10 novembre 1916, un autre obus tombe sur le cimetière
Le cimetière est à nouveau touché le 07 février 1917




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Dernière version du 27 décembre 2014 à 14:15

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Amiens - Cimetière Saint Acheul


Le Jeune poète amiénois Marius Souriceau grand admirateur de Rodin, se sachant condamné avait demandé qu'une sculpture de l'artiste soit sur sa tombe. En 1911 le "Lys Brisé" est donc mis en place, il y est gravé un vers d'Alfred Musset « Dieu passe, il m’appelle ». On dit que Jugée indécente par les bigots de l’époque, elle serait restée voilée pendant un an.

Repose notamment au cimtière Saint Acheul :


Durant la Guerre 1914 - 1918

L'entrée du cimetière est endommagée par un obus largué par avion le 30 septembre 1916

Dans la soirée du 10 novembre 1916, un autre obus tombe sur le cimetière

Le cimetière est à nouveau touché le 07 février 1917