« Port d'Aval » : différence entre les versions
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Lors de la première guerre mondiale, le commandant de la place d'Amiens et le Maire d'amiens s'accordent à n'autoriser l'établissement de maisons de tolérance que dans le quartier du Port d'Aval. | |||
D'après Jack Fishman (auteur de "Ce jour là - Et les murailles tombèrent" chez Robert Laffont) il y avait 5 maisons closes durant la seconde guerre mondiale dans cette rue : au 5, au 9 , au 27, au 34 et au 41. | Lors de la première guerre mondiale, le commandant de la place d'Amiens et le Maire d'amiens s'accordent à n'autoriser l'établissement de maisons de tolérance que dans le quartier du Port d'Aval. D'après Jack Fishman (auteur de "Ce jour là - Et les murailles tombèrent" chez Robert Laffont) il y avait 5 maisons closes durant la seconde guerre mondiale dans cette rue : au 5, au 9 , au 27, au 34 et au 41. [[Jacques Béal]] dans son roman [[rendez-vous au sourire d'Avril]] y situe lui aussi un grand nombre de maisons de tolérance. | ||
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Version du 9 mars 2013 à 21:29
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| Amiens - Port d'Aval |
Ou Boulevard du Port d'Aval
Lors de la première guerre mondiale, le commandant de la place d'Amiens et le Maire d'amiens s'accordent à n'autoriser l'établissement de maisons de tolérance que dans le quartier du Port d'Aval. D'après Jack Fishman (auteur de "Ce jour là - Et les murailles tombèrent" chez Robert Laffont) il y avait 5 maisons closes durant la seconde guerre mondiale dans cette rue : au 5, au 9 , au 27, au 34 et au 41. Jacques Béal dans son roman rendez-vous au sourire d'Avril y situe lui aussi un grand nombre de maisons de tolérance.