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* [[Bon théâtre populaire]] au 52 cinéma, qui servi de prison pour femmes après le bombardement de la prison d'Amiens par les alliés le 18 février 1944
* [[Bon théâtre populaire]] au 52 cinéma, qui servi de prison pour femmes après le bombardement de la prison d'Amiens par les alliés le 18 février 1944


* Au 56, un hôtel particulier qui abritait au sortir de la seconde guerre mondiale l'établissement "Prévost - Boulogne : Bonneterie Chaussures Lingerie"
* Au 56, un hôtel particulier qui abritait au sortir de la seconde guerre mondiale l'établissement "[[Prévost - Boulogne]] : Bonneterie Chaussures Lingerie"


* [[Le Lucullus]] : au 58 Bar - en 1932 figure déjà dans l'annuaire un cabaret. Fait l'angle avec l'[[Impasse des Rabuissons]]
* [[Le Lucullus]] : au 58 Bar - en 1932 figure déjà dans l'annuaire un cabaret. Fait l'angle avec l'[[Impasse des Rabuissons]]

Version du 7 juin 2013 à 21:36

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Amiens - Rue de la République


Origines

Anciennement Rue des Rabuissons, elle devient la rue regroupant les principaux équipements financiers, municipaux et gouvernementaux de la ville dès le XIX ième siècle. Elle fut aussi appelée Rue Royale


A l'angle avec la Rue des Cordeliers, l'Église Saint-Rémi

Au XIX ième Siècle

Au 19 : la Caisse d'Epargne

Aux 40 et 46 : Hôtels Cosserat, actuels Recette des Finances et Sous-Préfecture. Hôtels érigés par Charles-Joseph Pinsard

Au 48 : Musée de Picardie


Au 50 de la rue, la Bibliothèque Municipale : La ville acquit en 1820 un vaste terrain qui comprend les bâtiments de l'ancienne abbaye des Moreaucourt. L'architecte parisien Guy de Gisors le jeune dessine le futur bâtiment qui fût élevé de 1823 à 1825 Les deux ailes furent ajoutées sous l'impulsion de M. Janvier (voir Rue Janvier) en 1899. Dans la cour de la bibliothèque, un monument d'Albert Roze représentant Frédéric Petit

Au 57 : Hôtel Particulier érigé par Charles-Joseph Pinsard vers 1875. Actuel bâtiment de la Banque de France. Occupée par un Notaire dans les années 1930

Au 61 : on trouve après 1880 un photographe d'art, un certain Ch. Herbert - anciennement Maison Boscher

Au XX ième Siècle

Juste avant la première guerre mondiale, est construit un Hôtel particulier de style néo-classique. Ce bâtiment a la particularité d'être un des tous premiers bâtiments en ciment armée - technique qui sera reprise notamment par Auguste Perret dans les années 1920. En 1932 il est occupé par un industriel dénommé J. Sarazin

En 1918, la rue est touchée par les bombardements


Le 11 février 1960 une manifestation de 30 000 Agriculteurs tourne à l'émeute, on comptera un mort et plus de 150 manifestants blessés

Commerces

  • Rasé et reconstruit après la seconde guerre mondiale, le 8, aujourd'hui un commerce de matériels d'occasion, était occupé du début du siècle jusqu'à sa destruction par le libraire Poiré-Choquet
  • Au 32, en 1929 on trouve la succursale d'Amiens d'ODEOLA, qui propose Pianos et Phonographes
  • Bon théâtre populaire au 52 cinéma, qui servi de prison pour femmes après le bombardement de la prison d'Amiens par les alliés le 18 février 1944
  • Au 56, un hôtel particulier qui abritait au sortir de la seconde guerre mondiale l'établissement "Prévost - Boulogne : Bonneterie Chaussures Lingerie"
  • Au 64, faisant l'angle avec le boulevard, Le café de la Préfecture qui deviendra l'actuel Le Temps d'une Pause
  • Chez Froc : au 69 - 71 - bar tabac bien connu des fumeurs étourdis pour ses horaires tardifs - Déjà en 1932 un certain Véron exploitait à cette endroit un bar tabac.