« Vues Première Guerre Mondiale » : différence entre les versions
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Image:CPA-Amiens-1914-artillerie-traversant-la-ville.jpg|Artillerie traversant la ville | Image:CPA-Amiens-1914-artillerie-traversant-la-ville.jpg|Artillerie traversant la ville | ||
Image:CPA-Amiens-2116-Bombardement-rue-jules-barni.jpg|La [[Rue Jules Barni]] | Image:CPA-Amiens-2116-Bombardement-rue-jules-barni.jpg|La [[Rue Jules Barni]] | ||
Image:CPA-Amiens-La-Guerre-1914-Artillerie-francaise-recto.jpg|Correspondance de Poilu - recto | |||
Image:CPA-Amiens-La-Guerre-1914-Artillerie-francaise-verso.jpg|Correspondance de Poilu - verso | |||
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Version du 22 janvier 2015 à 16:06
La ville est occupée par les Allemands à partir du 31 août 1914. La ville est provisoirement désertée puis réoccupée par les Allemands jusqu'au 12 septembre 1914, date à laquelle elle est définitivement libérée.
Le centre ville fut touché par des bombardements en mars 1918 lors de l'offensive allemande débutée le 21 mars 1918. La ville est évacuée le 29 mars, régulièrement bombardée jusqu'à son dégagement par les troupes françaises et britanniques le 8 août 1918.
Albert Chatelle, dans son ouvrage "Amiens pendant la guerre", a recensé avec précision les dommages humains et matériels : - 152 tués - 731 bâtiments détruits - 3000 bâtiments endommagés Les dégâts se concentrent principalement autour de la Rue de Beauvais et des Rue des Trois Cailloux et Rue des Jacobins.
Nous avons reporté dans les rues concernées les destructions répertoriées par Albert Chatelle.
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Troupes allemandes en 1914
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La Rue de Beauvais et l'Hospice Saint Charles
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Les Nouvelles Galeries
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en 1918, la vue entre la Rue des Jacobins et la Rue des Trois Cailloux est dégagée - il ne reste rien du passage du commerce
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La Salle des Fêtes
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La Salle des Fêtes
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l'Arrivée des troupes françaises
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Capture d'un Uhlan
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Arrivée des Turcos certainement devant le Lycée Robert de Luzarches
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Canon de 380 mm capturé par les Australiens près de Chuignes et destiné au bombardement d'Amiens
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Le canon de 380 mm qui bombardait Amiens
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Immeubles Bellette et Garage Robart après les bombardements (angle Rue des Jacobins - Rue Lamarck)
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Témoignage de poilu - 18 juin 1916 - Hôpital temporaire Rue Delpech
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La Gare de Saint-Roch en 1918
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Maison Hunebelle - rue à localiser
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Maison Vagnier, actuel Tribunal Administratif
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Artillerie traversant la ville
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Correspondance de Poilu - recto
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Correspondance de Poilu - verso
La municipalité confia à Louis Duthoit le dressage d'un plan d'alignement des zones détruites et endommagées.
Ce n'est qu'en 1936 que le nombre d'habitants de la ville retrouvera son niveau d'avant-guerre.