« Cousin de Grainville » : différence entre les versions
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Jean-Baptiste-François-Xavier Cousin de Grainville, né au Havre le 3 avril 1746 et mort à Amiens le 1er février 1805 est un philosophe, poète, curé et écrivain français, surtout retenu pour son importante œuvre pionnière de la littérature fantastique le Dernier Homme. Selon [[Paule Roy]] dans ses [[Chronique des rues d'Amiens]] et dans [[Amiens : De Daguerre à Jules Verne, 1849-1905]] | Jean-Baptiste-François-Xavier Cousin de Grainville, né au Havre le 3 avril 1746 et mort à Amiens le 1er février 1805 est un philosophe, poète, curé et écrivain français, surtout retenu pour son importante œuvre pionnière de la littérature fantastique le Dernier Homme. Selon [[Paule Roy]] dans ses [[Chronique des rues d'Amiens]] et dans [[Amiens : De Daguerre à Jules Verne, 1849-1905]] | ||
En 1791 Grainville remplace l'abbé Degove comme curé de [[Eglise Saint-Leu|église Saint-leu]] - qui a refusé de prêter serment à la constitution. | En 1791 Grainville remplace l'abbé Degove comme curé de l'[[Eglise Saint-Leu|église Saint-leu]] - qui a refusé de prêter serment à la constitution. | ||
L'abbé de Grainville est, durant l'époque révolutionnaire instituteur et marié - ce qui lui attire les foudres de la population jusqu'à le pousser au suicide se jetant dans le canal de la rue qui porte désormais son nom la [[Rue Grainville]] | L'abbé de Grainville est, durant l'époque révolutionnaire instituteur et marié - ce qui lui attire les foudres de la population jusqu'à le pousser au suicide se jetant dans le canal de la rue qui porte désormais son nom la [[Rue Grainville]] | ||
Version du 17 mai 2013 à 13:09
Jean-Baptiste-François-Xavier Cousin de Grainville, né au Havre le 3 avril 1746 et mort à Amiens le 1er février 1805 est un philosophe, poète, curé et écrivain français, surtout retenu pour son importante œuvre pionnière de la littérature fantastique le Dernier Homme. Selon Paule Roy dans ses Chronique des rues d'Amiens et dans Amiens : De Daguerre à Jules Verne, 1849-1905
En 1791 Grainville remplace l'abbé Degove comme curé de l'église Saint-leu - qui a refusé de prêter serment à la constitution.
L'abbé de Grainville est, durant l'époque révolutionnaire instituteur et marié - ce qui lui attire les foudres de la population jusqu'à le pousser au suicide se jetant dans le canal de la rue qui porte désormais son nom la Rue Grainville