« Grands Salons Godbert » : différence entre les versions

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[[François Schaetjens]] décède en 1960 ses descendants exploitèrent ensuite le nom de [[François Schaetjens|Schaetjens]] sans jamais égaler son talent et sa renommée.  
[[François Schaetjens]] décède en 1960 ses descendants exploitèrent ensuite le nom de [[François Schaetjens|Schaetjens]] sans jamais égaler son talent et sa renommée.  


Avec ses quelques 85 ans d'existence les Grands Salons Godbert on marqué les mémoires et notamment en laissant des traces dans la littérature - Siegfried Sassoon auteur britannique évoque  Godbert dans son journal où il indique avoir diné avec d'autres militaires en mars 1917 - diner arrosé de Veuve Clicquot qui lui couta la coquette somme pour l'époque de 230 francs. [http://siegfried-sassoon.firstworldwarrelics.co.uk/html/godbert_s.html Page d'un site sur Siegfried Sassoon citant Godbert (en anglais)]
Avec ses quelques 85 ans d'existence les Grands Salons Godbert on marqué les mémoires et notamment en laissant des traces dans la littérature - Siegfried Sassoon auteur britannique évoque  Godbert dans son journal où il indique avoir diné avec d'autres militaires en mars 1917 - diner arrosé de Veuve Clicquot qui lui couta la coquette somme pour l'époque de 230 francs. ( cf :  [http://siegfried-sassoon.firstworldwarrelics.co.uk/html/godbert_s.html Page d'un site sur Siegfried Sassoon citant Godbert - en anglais)]


Dans un tout autre genre [[Jacques Béal]] dans son  [[Rendez-vous au sourire d'avril]] y emmène diner quelques uns de ses personnages à la fin des années 1960.  
Dans un tout autre genre [[Jacques Béal]] dans son  [[Rendez-vous au sourire d'avril]] y emmène diner quelques uns de ses personnages à la fin des années 1960.  

Version du 27 octobre 2014 à 15:39

Fondé par M. Godbert, au 62 Rue des Jacobins ( actuelle salle de la Comédie de Picardie ), les grands salons Godbert embauchent vers 1898 un aide cuisinier du nom de François Schaetjens, le propriétaire reconnait rapidement en lui les qualités d'un grand chef et l'envoie se perfectionner à Paris chez Wepler, Larue et Noël Peters. De retour à Amiens en 1915 il prend la direction des lieux. Schaetjens devient un chef réputé notamment pour son pâté de canard qui recevra les plus grands noms à sa table comme en témoigne son livre d'or qui recueille entre autres les signatures de Poincaré, Hériot, du Prince de Galles, du Maréchal Leclerc ou de Mme Roosevelt. (Src Courrier Picard spécial années 1960 )


François Schaetjens décède en 1960 ses descendants exploitèrent ensuite le nom de Schaetjens sans jamais égaler son talent et sa renommée.

Avec ses quelques 85 ans d'existence les Grands Salons Godbert on marqué les mémoires et notamment en laissant des traces dans la littérature - Siegfried Sassoon auteur britannique évoque Godbert dans son journal où il indique avoir diné avec d'autres militaires en mars 1917 - diner arrosé de Veuve Clicquot qui lui couta la coquette somme pour l'époque de 230 francs. ( cf : Page d'un site sur Siegfried Sassoon citant Godbert - en anglais)

Dans un tout autre genre Jacques Béal dans son Rendez-vous au sourire d'avril y emmène diner quelques uns de ses personnages à la fin des années 1960.