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Le bâtiment est en fait constitué de deux ensemble de briques rouges joint entre eux par une cour vitrée. C'est l'oeuvre d'[[Emile Ricquier]] en 1869 qui construisit aussi le domicile du dirigeant de l'usine. | |||
Le dernier étage est encore de nos jours striés de planche de bois, c'était l'étage du séchage des peaux. Sur le côté, par la [[rue des hautes cornes]] figure la date de construction et parmi les ouverture au dernier étage une rosace de fer au dernier étage qui donnait sur le bureau de la direction. | |||
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Image:Hunnebelle.jpg|facture de 1934 où l'on voit le bâtiment en en-tête | Image:Hunnebelle.jpg|facture de 1934 où l'on voit le bâtiment en en-tête | ||
Image:Porte_hunebelle.JPG|Entrée du bâtiment où l'on lit encore de nos jours le nom d'Hunnebelle | Image:Porte_hunebelle.JPG|Entrée du bâtiment où l'on lit encore de nos jours le nom d'Hunnebelle | ||
Image:Hunebelle_bureau_direction.JPG|la fenêtre des bureaux de la direction | |||
Image:maison_hunebelle.jpg|Le domicile des hunebelle | |||
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Version du 10 mars 2013 à 19:55
Les chaussures Félix Hunebelle ont occupés l'immeuble 18 place Parmentier et Paule Roy cite un dépôt appartenant à Hunebelle rue d'Engoulvent au XIX. Le bâtiment est en fait constitué de deux ensemble de briques rouges joint entre eux par une cour vitrée. C'est l'oeuvre d'Emile Ricquier en 1869 qui construisit aussi le domicile du dirigeant de l'usine.
Le dernier étage est encore de nos jours striés de planche de bois, c'était l'étage du séchage des peaux. Sur le côté, par la rue des hautes cornes figure la date de construction et parmi les ouverture au dernier étage une rosace de fer au dernier étage qui donnait sur le bureau de la direction.
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les locaux au 18 place Parmentier
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facture de 1934 où l'on voit le bâtiment en en-tête
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Entrée du bâtiment où l'on lit encore de nos jours le nom d'Hunnebelle
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la fenêtre des bureaux de la direction
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Le domicile des hunebelle
