« Allée Commerciale » : différence entre les versions

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Image:Exposition-dArt-Sacre-ancien-et-Moderne-1948-01.jpg|Publicité dans le catalogue de l'[[Exposition d'Art Sacré ancien et Moderne - 1948]]
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Image:Exposition-dArt-Sacre-ancien-et-Moderne-1948-11.jpg|Publicité dans le catalogue de l'[[Exposition d'Art Sacré ancien et Moderne - 1948]]
Image:Exposition-dArt-Sacre-ancien-et-Moderne-1948-11.jpg|Publicité dans le catalogue de l'[[Exposition d'Art Sacré ancien et Moderne - 1948]]
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Version du 14 décembre 2014 à 13:13

A la sortie de la Seconde Guerre mondiale, est en attendant la reconstruction de la ville, les commerçants s'installent dans des baraquements provisoires, le long des boulevards : Boulevard d'Alsace Lorraine, Boulevard de Belfort, Mail Albert 1er, Place Longueville jusqu'au Boulevard Maignan Larivière

L'allée compte environ 200 baraquements. En comparaison, la ville comprenait en 1939 environ 2000 commerces de détail dont environ 260 sur l'axe Rue de Noyon - Rue des Trois Cailloux et 120 dans les rues adjacentes (Rue Duméril, Rue de Beauvais) . Source Les Reconstructions en Picardie


Dans l'annuaire de 1946, l'on retrouve des enseignes bien connues des Amiénois et dont certaines sont encore ouvertes de nos jours :

A l'extrémité du Boulevard Maignan Larivière, ouvert sur la Place Longueville était installé un café dénommé Le Chalet Vert