« Progrès de la Somme » : différence entre les versions
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Quotidien de sensibilité républicaine | Quotidien de sensibilité républicaine fondé en 1868 par [[René GOBLET]] - [[Jules Lardière]] et [[Frédéric Petit]] | ||
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Dans le département de la SOMME en 1868, Monsieur fonde un journal Républicain, " Le Progrès de la Somme ". Proche des convictions de Charles de FREYCINET, il est partisan de l’envoi d’un ultimatum à l’Allemagne lors d’un incident avec un garde frontière en avril 1887. Avocat et député pendant de nombreuses années, une place de la ville d'Amiens porte son nom. |
Version du 24 mai 2014 à 18:13
Quotidien de sensibilité républicaine fondé en 1868 par René GOBLET - Jules Lardière et Frédéric Petit
Durant la seconde guerre mondiale une partie de l'équipe se réfugie d'abord en Bretagne à Lorient, le progrès reprendra ensuite sa parution sous le joug allemand. Le progrès de la Somme cependant ne se compromet pas trop dans la collaboration en s'efforçant de se limiter à des informations pratiques.
Le titre disparait après la seconde guerre mondiale pour devenir le Courrier Picard - siège Rue Alphonse Paillat
- http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Progr%C3%A8s_de_la_Somme | Fiche Wikipédia
Dans le département de la SOMME en 1868, Monsieur fonde un journal Républicain, " Le Progrès de la Somme ". Proche des convictions de Charles de FREYCINET, il est partisan de l’envoi d’un ultimatum à l’Allemagne lors d’un incident avec un garde frontière en avril 1887. Avocat et député pendant de nombreuses années, une place de la ville d'Amiens porte son nom.