« Rue Vulfran Warmé » : différence entre les versions
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* Au 5 de la rue Vulfran Warmé se tient dans les années quarante un café "le Villon" - | * Au 5 de la rue Vulfran Warmé se tient dans les années quarante un café "le Villon" - Après la seconde guerre mondiale une affiche communiste dénonce la collaboration horizontale à laquelle se livrerait des dames de peu de vertu. De nos jours c'est [[le grand Wazoo]] qui est installé à cet endroit. | ||
* Au 137 Mme Vignon, dont l'époux a été tué par les allemands, accueille pendant la seconde guerre mondiale - des aviateurs anglo-américains amenés là par plusieurs organisations de résistant - il reste aujourd'hui au 157 une courte facade dont l'une des porte est surmontée d'un décor en ciment moulé. ( [[Histoire d'Amiens]] [[Privat]] et témoignage de Georges GOLDSTEIN [http://www.evasioncomete.org/fgoldstgg.html témoignage de Georges GOLDSTEIN] ) | * Au 137 Mme Vignon, dont l'époux a été tué par les allemands, accueille pendant la seconde guerre mondiale - des aviateurs anglo-américains amenés là par plusieurs organisations de résistant - il reste aujourd'hui au 157 une courte facade dont l'une des porte est surmontée d'un décor en ciment moulé. ( [[Histoire d'Amiens]] [[Privat]] et témoignage de Georges GOLDSTEIN [http://www.evasioncomete.org/fgoldstgg.html témoignage de Georges GOLDSTEIN] ) |
Version du 15 septembre 2013 à 19:58
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Amiens - Rue Vulfran Warmé |
Vulfran (Joseph Florimond) était un journaliste politique notamment Miroir de la Somme et écrivain, né et mort à Amiens le 13 juillet 1797 et 11 mars 1835. Le Préfet de la Somme, le chargea en 1831, de créér à Amiens une école normale primaire
(Source : Arch. municipales d'Amiens & Paule Roy ).
Voir Église Saint Anne
la rue Vulfran Warmé au XX ième siècle
- Au 5 de la rue Vulfran Warmé se tient dans les années quarante un café "le Villon" - Après la seconde guerre mondiale une affiche communiste dénonce la collaboration horizontale à laquelle se livrerait des dames de peu de vertu. De nos jours c'est le grand Wazoo qui est installé à cet endroit.
- Au 137 Mme Vignon, dont l'époux a été tué par les allemands, accueille pendant la seconde guerre mondiale - des aviateurs anglo-américains amenés là par plusieurs organisations de résistant - il reste aujourd'hui au 157 une courte facade dont l'une des porte est surmontée d'un décor en ciment moulé. ( Histoire d'Amiens Privat et témoignage de Georges GOLDSTEIN témoignage de Georges GOLDSTEIN )