Cimetière Saint Acheul
Le Jeune poète amiénois Marius Souriceau grand admirateur de Rodin, se sachant condamné avait demandé qu'une sculpture de l'artiste soit sur sa tombe. En 1911 le "Lys Brisé" est donc mis en place, il y est gravé un vers d'Alfred Musset « Dieu passe, il m’appelle ». On dit que Jugée indécente par les bigots de l’époque, elle serait restée voilée pendant un an.